Jean-Marc BERTRAND Administrateur Site
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Posté le: Lun Fév 06, 2012 12:38 pm Sujet du message: |
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Intéressant Sergio, merci
Je mets en copié / collé le petit résumé sous la vidéo -->
"Afin de satisfaire leurs besoins hydriques et nutritionnels, les triathlètes doivent faire face à de nombreux obstacles liés à leur entraînement quotidien.
Une fatigue persistante, une réduction de l’appétit après les séances d’entraînement intense, un planning inadéquat et le manque d’accès à des aliments et liquides appropriés sont autant d’éléments qui peuvent empêcher les triathlètes manquant de temps, de répondre aux besoins nutritionnels liés à leur pratique sportive intense.
Le contrôle de la masse et de la composition corporelle sont influencés par le niveau de chaque triathlète et la distance de compétition.
En triathlon distance Olympique, les plus faibles performances finales et lors de la partie pédestre sont directement corrélées à l’augmentation de l’adiposité des triathlètes.
Etant donnée l’influence majeure du contrôle de la masse et de la composition corporelle sur la performance en triathlon, les conseils alimentaires destinés à optimiser l’entraînement et la récupération entre les séances devraient être modifiés en ce sens.
Une alimentation variée, axée sur des aliments et boissons à haute densité nutrtionnelle devrait permettre d’éviter les conduites alimentaires extrêmes, telles que les restrictions énergétiques sévères, la privation de certains aliments, et l’adoption de règles alimentaires strictes.
Les triathlètes expriment un réel intérêt pour les stratégies nutritionnelles destinées à améliorer leurs performances, et cherchent à mieux comprendre comment agissent les compléments alimentaires et autres aliments ergogènes.
Nous avons rapporté récemment que les triathlètes élites consommaient ~25g de glucides par heure au cours d’un triathlon distance Olympique.
Les opportunités de se restaurer au cours d’une épreuve de triathlon sont courtes et limitées, et imposent donc une prise rapide de glucides sous forme de gels, aliments ou boissons, générant souvent des troubles gastro-intestinaux.
Dans ce cadre, il reste important de déterminer si une moindre quantité de glucides exogènes pourrait améliorer la performance.
Les conseils hydriques destinés aux triathlètes doivent prendre en compte les facteurs qui influencent directement les pertes en sueur (i.e. intensité de l’exercice, conditions environnementales, et genre), les opportunités de prise hydrique, ainsi que la tolérance des athlètes aux boissons.
Le développement de stratégies hydriques pour les triathlètes distance Olympique permet une gestion plus fine des apports en glucides." _________________ Sportivement
Jean-Marc BERTRAND
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