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Elnino69 Vétéran
Inscrit le: 03 Fév 2012 Messages: 157
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Posté le: Mer Sep 26, 2012 6:23 pm Sujet du message: Physiologie d'un intermittent sur ergocycle vs course |
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Bonjour JMM et tous ceux qui liront ce post.
J'aimerais votre avis sur l'effet d'un intermittent court 5-8 secs effort sur ergocycle par rapport à un intermittent en course.
C'est une question de pratique d'utiliser un ergocycle, maintenant je ne sais pas si le transfert vers par exemple le football ( = est bon, nul, ou mauvais.
Je ne parle pas du cardio car je sais qu'il sera assez efficace même si la consommation d'oxygène sur ergocycle sera plus faible car moins de chaines musculaire en activités par rapport à la course SPRINT.
Je pense qu'on perd sur :
- Economie de course et endurance sur les efforts explosifs : L’intermittent supramaximal maximalise la distance courue à des hautes intensités. Se crée alors des adaptations neuromusculaires accrues par un mécanisme de stockage restitution de l’énergie élastique affectant l’économie de course mais aussi les qualités de force et d'explosivité sur des fibres glycolitiques qui présentent une vitesse et une amplitude de contraction plus importante permettant à IT court de conserver ses qualités de force.
Parce que l'on ne sollicite pas le bon angle, on n'est pas sur le même effort.
Donc je voulais avoir votre avis, si vous pensez tout comme moi que a part le cardio qui est avantageux, il vaudrait mieux coupler avec de la musculation en parrallèlle si on ne peut pas aller courir.
Et aussi et surtout, si le vélo est connu pour être très mauvais transfert sur des courses sur le moyen et long therme (car le schéma moteur n'est plus du tout le même), à ma connaissance je n'ai pas d'étude sur le sujet ! merciii |
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Jean-Marc BERTRAND Administrateur Site
Inscrit le: 01 Aoû 2006 Messages: 3395 Localisation: Montpellier
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Posté le: Jeu Sep 27, 2012 11:55 pm Sujet du message: |
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Salut
Le "vélo ergocyle" est connu pour éviter une chute trop rapide des qualités physiques, notamment pendant une phase de blessure. On parle d'ailleurs "d'entretien" grâce à cette méthode, mais pas de véritable "développement". Donc pour résumer, l'utiliser en période d’arrêt d'activité, a cause d'une lésion à soigner, ou bien en rééducation. OK. Idem pour les phases d'échauffement, ou de récupération. Mais l'incorporer dans un programme d’entraînement en escomptant une progression et un transfert sur le geste de compétition. A part pour quelques disciplines d'endurance ou il convient de travailler tous les paramètres de la Vo2max (prélèvement de l'O2 dans l'air ambiant, diffusion dans le compartiment sanguin, perfusion des capillaires, etc.), pour ma part, je pense que ce n'est pas judicieux.
A+ tard _________________ Sportivement
Jean-Marc BERTRAND
www.preparation-physique.info
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Elnino69 Vétéran
Inscrit le: 03 Fév 2012 Messages: 157
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Posté le: Jeu Oct 04, 2012 6:59 pm Sujet du message: |
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Sa rejoint mon point de vu, merci chef |
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